A Arras en Lavedan, on prend la D103 en direction d’Estaing. On tourne à gauche après la centrale électrique et à
droite au carrefour suivant. A l'entrée de Sireix, on suit à gauche la piste de la Curadère sur onze kilomètres pour
laisser la voiture pratiquement au bout. Seuls les cinq premiers kilomètres sont bitumés.
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Le Cabaliros vu du Turon du Lys (station du Lys). |
On continue sur le prolongement de la piste plus rudimentaire. On passe près d'un enclos à bétail. Un peu plus loin, on
voit très nettement la piste nivelée contourner la première colline. Sur la gauche, on voit le col du Soulor, le pic de
Bazès, le col de Couraduque, le soum de la Pène et le col de Liar. A droite, le Cabaliros est le quatrième sommet. Quand
la piste tourne, on domine le pic de Pan. A l'arrière plan, le Gabizos, le pic du midi d'Arrens, le Balaïtous et devant le
Cabaliros. La piste se termine entre les deux premières collines [25 mn]. La carte y indique la présence de
pylônes. Ces derniers vestiges du transporteur aérien des mines de plomb ont récemment été enlevés. On prend, en face, le
sentier bien marqué au sol qui monte le plus. A gauche, la vue s'étend sur la plaine de Tarbes. La fin du contournement du
deuxième pic (pic Arraillé) se fait en légère descente. On passe en amont d'un petit ravin où l'on retrouve quelques cairns
pour continuer au SSO. Après avoir traversé un ru [45 mn], on atteint une cabane. Le sentier continue de
monter en face. Quelques minutes plus tard, on retrouve la vue sur le Cabaliros. Au clot de la Touette(photo), on monte suivant le thalweg en direction du sentier de crête. On y découvre une superbe vue sur
Cauterets et la vallée du Lutour. Puis le sentier prend à droite vers le Cabaliros. Les derniers mètres sont assez raides
sur un sentier de terre. Le pic est atteint en une heure et demie.
La vue vaut vraiment le déplacement, et cerise sur le gâteau, le pic est équipé d'une table
d'orientation qui nomme un grand nombre de sommets.
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